Bien, après vous avoir barbé un peu avec notre
vie de tous les jours un post avec quelques photos d’ailleurs.
Une fois que nous avons eu la voiture, Ryan et
moi avons décidé d’aller visiter un peu les alentours. On s’est décidé pour
Kerikeri, où se trouve le plus vieil édifice en pierre (encore debout) de
Nouvelle Zélande et une maison en bois qui abrita aussi des missionnaires et leur
famille. C'est aussi le premier endroit où fut planté un vignoble dans le pays. La terre riche de cette contrée volcanique acceuille aussi nombre de vergers avec des fruits tels que des avocats, des feijoas, des oranges... La petite ville en elle-même est assez mignonne avec ses petites boutiques ( un très bon bouccher), restaurants et cinémas (Ah! Le retour à la modernité!)...
La maison en pierre (directement extraites de la rivière voisine) a servi de magasin. Sa viste nous a permis de voir quels de types de matériaux étaient vendus et d’où ils
venaient (clous, outils, tissus, dinette...). Il y avait aussi une exposition à
l’étage qui permet comprendre un peu l'hsitoire de la région et ses principaux personnages. C’était comme un petit voyage dans le temps.
Après cela on a visité la maison des missionnaires. Le jardin autour était magnifique et la maison bien conservée. Une conférencière nous a expliqué un peu la situation des familles qui se sont succédées dans ses murs. Il fallait croire au Seigneur pour venir dans des territoires si sauvages. Leur survie ne dépendait que du bon vouloir du chef, de sa longévité ou encore de l’issue des guerres auxquelles il pourrait participer. Hongi Hika chef de la tribu entourant la petite bicoque est parti en Angleterre pour deux ans. Là-bas il a participé à l’élaboration d’un dictionnaire bilingue Anglais Maori. Il fût le premier de son genre pour tout le Pacifique. Par contre pendant ce temps là, la vie a été un peu rude pour les missionnaires qui avaient « privé » la tribu de son chef ! Ils ont cependant initiés les autochtones à l’agriculture, la charpenterie, la lecture et la religion…
Après cela on a visité la maison des missionnaires. Le jardin autour était magnifique et la maison bien conservée. Une conférencière nous a expliqué un peu la situation des familles qui se sont succédées dans ses murs. Il fallait croire au Seigneur pour venir dans des territoires si sauvages. Leur survie ne dépendait que du bon vouloir du chef, de sa longévité ou encore de l’issue des guerres auxquelles il pourrait participer. Hongi Hika chef de la tribu entourant la petite bicoque est parti en Angleterre pour deux ans. Là-bas il a participé à l’élaboration d’un dictionnaire bilingue Anglais Maori. Il fût le premier de son genre pour tout le Pacifique. Par contre pendant ce temps là, la vie a été un peu rude pour les missionnaires qui avaient « privé » la tribu de son chef ! Ils ont cependant initiés les autochtones à l’agriculture, la charpenterie, la lecture et la religion…
Ils n’ont pas rencontré un succès foudroyant
quant au nombre de conversion mais
ont survécu à la mort du chef, la passation de pouvoir à son frère et n’ont
pas été tués par les tribus voisines jalouses des « cadeaux » offerts
au chef et à sa tribu. Ces cadeaux pouvaient être de nouvelles connaissances, des matières premières non découvertes ou non existantes sur place mais aussi malheureusement des armes Européennes.
La nouvelle Zélande bénéficie d’un statut
particulier en ce qui concerne son peuplement. A la différence de l’Australie,
ce n’était pas une zone de déportation. Les premières colonies de
« blancs » ou Paheka en Maori y ont été des aventuriers : des baleiniers, aux
chasseurs de phoques, en passant par des marins de passage leur d’une
traversée. D’après ce que me dit mon livre, les Anglais avaient pris conscience
des erreurs faites en matière de colonisation et souhaitaient ne pas reproduire
les massacres des indigènes des colonisations antérieures.
Malheureusement les Maoris ont vite appris à se servir des armes
Européennes et se sont fait la guerre entre eux, forts de leur nouvelle
puissance… Les colons ont acheté
leur territoire en les dédommageant financièrement mais pour ces natifs qui avaient
des campements différents selon les saisons et qui ne connaissaient ni clôture
ni acte de propriétés, il y a eu une incompréhension totale sur la notion même de ce
qu’ils vendaient !
C'est bien , on s'instruit !
RépondreSupprimerBises.